La cuisine est le vrai QG de Noël d'après une étude Cuisines AvivA

La cuisine est le vrai QG de Noël d'après une étude Cuisines AvivA

Zone d’exfiltration, bar clandestin, love room : la cuisine est le vrai QG de Noël

On pensait que la magie de Noël se jouait autour du sapin.

C’était avant de découvrir que le vrai cœur stratégique des fêtes n’est ni le salon, ni la salle à manger… mais la cuisine.

Présentée en juin dernier, la nouvelle signature de Cuisines AvivA “Pour cuisiner, ou pas !” n’a jamais été aussi vraie.

Plus qu’un lieu où l’on prépare le repas, la cuisine devient pour 1 Français sur 2 la sortie de secours officielle des repas de famille et bien plus que ça…

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D’après la nouvelle étude OpinionWay pour Cuisines AvivA, un Français sur deux avoue se réfugier dans la cuisine sous prétexte de surveiller le four, simple alibi pour échapper aux débats interminables sur la politique ou « c’était mieux avant ».

Chez les moins de 35 ans, la tactique est devenue un sport national : 7 jeunes sur 10 maîtrisent désormais l’art de la fuite en cuisine.

Et une fois la porte fermée, la langue se délie : 43% en profitent pour débriefer des énormités entendues à table, tandis que 38% s’y terrent pour éviter un voisin de table trop lourd. On ne choisit pas sa famille, mais on choisit sa pièce de repli !

Et quand ce n’est pas pour fuir, c’est pour souffler : la cuisine devient carrément une salle de pause à Noël.

56% s’y réfugient juste pour souffler loin du brouhaha, 19% pour s’envoyer un petit shot discrètement hors de portée des enfants, et 14% pour carrément piquer une micro-sieste entre deux plats.

À ce rythme, on se demande encore pourquoi on met le sapin dans le salon.

 

Top sujet de fuite : les débats et questions intrusives

Trois types de discussions poussent les Français à lâcher leur assiette pour courir s’enfermer entre le frigo et le four : les débats politiques aux dérapages racistes ou sexistes (66%), les théories complotistes (41%) et les remarques sur le physique – « tu reprends encore du dessert ? » (37%).

Mais chez les jeunes, il y a un autre tabou absolu : les questions intrusives sur la vie sentimentale ou sexuelle. 54% préfèrent partir éplucher des marrons que d’expliquer une énième fois pourquoi ils sont toujours célibataires, et près d’un sur deux fuit les discussions sur la fréquence de leurs rapports.

Noël, oui. L’interrogatoire sentimental, non merci.

Chez les jeunes, la cuisine devient carrément une love room… connectée

Là où leurs aînés viennent simplement respirer, les 18-34 ans transforment carrément la cuisine en zone d’activités parallèles. 39% profitent d’un passage discret pour partager un moment intime avec leur partenaire. Près de 4 jeunes sur 10 en profitent même pour swiper sur Tinder entre la dinde et la bûche, certains allant jusqu’à montrer leurs matchs en famille. 38% ouvrent un cadeau “un peu trop osé pour être près du sapindans le coin cuisine, 39% y flirtent avec un membre de la belle-famille, et 30%, soit 3 jeunes sur 10, envoient un nude en douce.

À ce stade, ce n’est plus une simple cuisine : c’est un open space de liberté individuelle.

Et pour ceux qui ont parlé trop vite à table… la cuisine sert aussi de centre de fact-checking

Quand les débats dégénèrent et que les convictions sont trop affirmées, 19% des Français se précipitent en cuisine pour vérifier sur ChatGPT si ce qu’ils viennent d’affirmer était vrai. Chez les moins de 35 ans, ils sont même 32% à fact-checker en douce leur propre aplomb.

Noël, version 2025 : on trinque à table, on vérifie au plan de travail.

 

La cuisine : de la zone tampon à la contre-soirée assumée

Et quand ce n’est plus possible de retourner à table, une partie des convives assume totalement la dissidence : 35% organisent une contre-soirée assumée dans la cuisine pour « passer un vrai bon moment ». Chez les jeunes, ils sont 7 sur 10 à retourner la cuisine en véritable QG festif.

Traduction : la vraie after-party, c’est entre l’évier et le lave-vaisselle.

Certains vont plus loin dans le sabotage discret : 34% se resservent du champagne en cachette, un chiffre qui grimpe à 63% chez les jeunes et 58% finissent le gratin sans rien dire.

Qui a dit que la guerre des clans n’existait pas à Noël ?

 

 

Chez Cuisines AvivA, on conçoit des cuisines pour cuisiner… mais aussi pour survivre aux fêtes

Chez Cuisines AvivA, on a toujours pensé que la cuisine était bien plus qu’un lieu pour cuisiner. Cette étude en apporte la preuve : c’est un coin d’air frais, une espace d’aveux, une zone de repli tactique et parfois même… une zone de flirt avancé.

Une bonne cuisine aujourd’hui, ce n’est pas seulement celle où l’on prépare la dinde. C’est celle dans laquelle on peut fuir tonton, swiper en paix et vérifier si la belle-sœur raconte vraiment n’importe quoi.

Depuis sa création en 2000, Cuisines AvivA bouscule les codes du secteur avec une idée simple : proposer des cuisines de qualité, bien pensées, bien fabriquées, à des prix accessibles. Le concept "high value, low cost", né à Annecy, a fait ses preuves — et le réseau s’est développé dès 2007 en franchise. Aujourd’hui, ce sont 118 magasins, en centre-ville comme en zone commerciale, et encore 150 villes dans le viseur pour ouvrir de nouvelles adresses.

Cuisines AvivA, c’est un distributeur indépendant qui négocie en direct avec les fabricants pour proposer une offre unique, sans compromis sur le design ou les finitions. Mais c’est surtout une enseigne qui reste fidèle à ses fondamentaux : être commerçante avant tout, humaine toujours, et transparente de A à Z.

L’enseigne propose des cuisines bien conçues, un accompagnement clair, et des projets construits main dans la main avec chaque client. Parce que chez Cuisines AvivA, on ne vend pas juste une cuisine : on crée un espace de vie.

Cuisines AvivA crée des espaces de vie adaptés à toutes les réalités du quotidien. Que ses utilisateurs cuisinent des plats de chef, improvisent un dîner express ou privilégient la livraison, chaque cuisine Cuisines AvivA est pensée pour s’adapter aux usages réels, sans jugement ni pression. L'enseigne célèbre ainsi toutes les façons de vivre la cuisine — pour cuisiner, ou pas.

CHIFFRES CLÉS
> 118 magasins
> 600 collaborateurs
> 149M€ de CA en 2024
20 000 cuisines et aménagements en 2024