QUAND LE PARISIEN VANTE LES MÉRITES DES CUISINISTES

QUAND LE PARISIEN VANTE LES MÉRITES DES CUISINISTES

Source : Quand Le Parisien vante les mérites des cuisinistes (culturecuisine-lemag.com)

Pas l’habitant de la capitale, mais le journal qui a mené enquête pour comprendre le désir vif de recrutement des enseignes de cuisines équipées, et leur a demandé leur niveau de rémunération et les compétences requises. Morceaux choisis.

Voici les points forts et phrases clés de cet article paru le mois dernier :

 

« Actuellement notre branche recherche quelque 4 000 concepteurs-vendeurs, selon  Christian Sarrot, secrétaire général du Snec.

 

Les rémunérations sont plutôt attractives dans ce milieu avec un salaire net mensuel de 2000 euros pour un débutant, de 2 500 pour un concepteur déjà un peu aguerri et cela peut même grimper jusqu’à 3 500 ou 4 500 euros net par mois pour les meilleurs de la profession (fixe et variable).    

Concepteur-vendeur est un métier très complet. Il faut savoir accueillir le client car on vend un vrai projet. On doit comprendre son mode de vie, son quotidien, identifier ses besoins. Bref, il faut être curieux et aussi vigilant sur des handicaps par exemple, souligne Claire Naizin, responsable du développement des talents chez But.

 

En plus, il y a aussi tout l’aspect technique, avec la conception de l’intérieur en 3D, le design, les zones froide, chaude ou de lavage. Ce métier est vraiment très proche de celui d’architecte d’intérieur.

 

Le cuisiniste est donc un expert dans de multiples domaines mais cette profession reste méconnue. À tel point que les enseignes recherchent des candidats en externe mais aussi en interne.

 

En marge des formations que proposent tous les grands noms, des écoles spécialisées sont aussi à la disposition des candidats au métier de concepteur-vendeur de cuisine. Il en existe un peu partout dans l’Hexagone.

 

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